mercredi 4 mai 2011

Monday, Janvier 10, 2011

Comment je suis devenu un «Juif haine de soi»

L'une des leçons les plus importantes que j'ai eu la chance de recevoir les leçons ont été mes grands-parents m'ont appris.
Mes grands-parents a survécu à Auschwitz et d'autres horreurs durant les désagréments grands de la Shoah. Je me souviens que, petite fille entendant leurs conversations avec d'autres survivants, mes parents m'ont dit d'histoires à leur tour, avait surpris. Ca m'a fait froid dans le dos par la peur. Puis un jour, j'avais 10 ans, mes cousins, mes frères et moi sommes allés avec nos grands-parents en Pologne, nous sommes allés voir Auschwitz. Je ne peux pas décrire les sentiments qui ont fait un bond à travers moi alors et là. Les portes légendaire à l'entrée, les barbelés, la caserne de froid. Et les chambres à gaz, les "douches". Et les fours. Je n'avais jamais connu dans ma vie une telle poussée de l'émotion brute incontrôlable, et j'espère ne jamais le refaire. Pour réaliser, vraiment comprendre et accepter que ma douce, grands-parents gais et des millions d'autres ont été à un moment tout à fait littéralement de marque pour l'extermination éventuelle pour aucune autre raison que celle qu'ils étaient juifs, eh bien, je l'ai perdu. Mes jambes se dérobèrent et j'ai laissé tomber au sol en larmes. Des larmes de tristesse, de colère, d'impuissance et de l'acceptation, puis la haine.
Quand nous sommes retournés les cauchemars ont commencé, et n'a jamais entièrement disparu. Nightmares de remplissage de gaz jusqu'à la salle de douche, et des fours à plomb géant rempli de toute personne dans ma famille, mes amis, les voisins, tout le monde je n'avais jamais rencontré jusque-là dans ma vie. Il n'était pas longtemps après les cauchemars ont commencé, j'ai commencé à la haine des Allemands. Que j'étais d'origine allemande n'avait pas d'importance, en fait, il semble maintenant avec le recul que cela fait effectivement intensifié la haine. Que la haine à son tour devenu un amour pour Israël, la terre de ma naissance. Un amour qui, en vérité, n'était rien de plus que l'expression du nationalisme, et il a fait ses débuts dans la haine la plus interne. Malade, non?
Je ne me souviens exactement de quoi il a été je l'ai dit à mon grand-père, je ne me souviens que cela avait à voir avec l'occupation de la Palestine et l'Allemagne. J'ai dit des choses odieuses que je regrette maintenant, et le plus impardonnable, j'ai essayé d'utiliser à la fois la Shoah et de ma haine pour les Allemands pour justifier le traitement pénal de tout un peuple qui n'avait jamais m'ont fait aucun mal.
Mon grand-père me fit asseoir sur ses genoux, et tout simplement me disait: «J'ai pardonné. Je suis libre à nouveau."
Ce qui m'a frappé à mon âme. Il a été tout simplement scandaleux toute personne qui a subi, comme mes grands-parents devraient tout simplement pardonner.
De nombreuses conversations ont suivi, j'ai essayé de combattre l'idée, mais il s'était emparé. Lentement, j'ai vu la terrible erreur que j'ai faite, et avec l'acceptation est venu l'amour et puis aussi, j'ai pardonné.
Les poètes ont écrit d'innombrables lignes dédié à l'amour, et je ne crois pas que n'ont pas encore été en mesure de rendre justice à ce mot et le concept.
Ma colère est restée, mais il était entraîné par un amour que je n'avais jamais connu a été possible. Un amour pour les êtres vivants qui ont commencé à remodeler ma pensée, ma philosophie, moi-même.
Comme j'ai commencé à explorer cette capacité nouvellement découvert l'amour, il est devenu douloureusement évident qu'une grande partie de ce que je croyait que c'est débuts dans un moment sombre de ma vie.
Le plus évident est mon soutien ardent pour Israël. Comme je l'ai exploré ce soutien, il est devenu clair pour moi, pour de nombreuses raisons, que je ne pouvais plus de bonne foi continuer à soutenir un régime qui traite des personnes innocentes, dont certains étaient des enfants, comme moi, d'une manière très semblable à celui qui m'a conduit à la haine. Il était alors évident que je suis un anti-Juif sioniste, le type le plus détesté d'aujourd'hui Juif, considéré par beaucoup comme plus d'un jour moderne Kapo. Un «Juif haine de soi».
Un autre effet secondaire de cet amour a été récemment découvert la nécessité de défendre mes croyances nouvelles, et une redécouverte de ma foi a commencé. Et une histoire d'amour avec la philosophie. Comme je l'ai étudier la philosophie je vais gagner en force, et que la force sera utilisée pour trouver ma voix parmi les multitudes. Et avec cette voix Je prie pour que je peux être en mesure de partager les leçons mes grands-parents m'ont appris.

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